Atarashī Kibō
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Forum RPG se basant au Japon en 1780 durant l'ère Edo, période de grande famine où chacun devra apprendre à vivre malgré les événements.
 
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Mareo Ima [Validé]

Mareo Ima


Médecin

Mareo Ima
Fonction : Membre
Présence : Disponible
Messages : 11
Âge rp : 56 ans
Statut marital : Veuf
Yens : 2120
Jeu 14 Déc 2017 - 12:07
Ima Mareo


Prénom • Mareo
Nom • Ima
Âge • 56 ans
Date de naissance • 14 novembre 1724

Classe sociale • Médecine
Profession • Médecin
Village • Hodukyo
Situation maritale • Veuf


MA DESCRIPTION PHYSIQUE ET MORALE


Caractère • « Le vrai caractère des hommes est de rabaisser ce qu'ils admirent, de chercher des défauts dans ce qu'ils estiment, et de haïr ce qu'ils ne peuvent mépriser. »

Au cours d’une existence, plusieurs caractères se développent, parfois dans la continuité les uns des autres, parfois en rupture brutale selon ce que l’on vit. Enfant, Mareo avait un tempérament semblable à celui de n’importe quel autre. Les moments sérieux, consacrés à ses études et ses cours, alternaient avec des moments plus libres et de joie, où il pouvait jouer, courir dans la forêt, nager dans la rivière ou s’adonner à milles autres jeux, comme peuvent en inventer les enfants. Une ère alors très simple encore, où les seules difficultés réelles consistaient à suivre un apprentissage très sérieux, à suivre les directives de parents voulant qu’il puisse réussir.

A cette ère d’innocence succéda l’ère des découvertes et des premières responsabilités. Laissons là un moment les rires d’enfants et enfermons-les dans nos souvenirs pour gagner en sérieux et en respectabilité. La rigueur était de mise, au travail, tout comme la patience. Le jeune homme qu’il était alors apprit à être plus minutieux dans ses gestes, à les réaliser avec moins de précipitation et donc plus d’efficacité. Il apprit à manier les mots pour rassurer et expliquer, gagnant aussi en autorité pour faire respecter ses recommandations et parfois, ses ordres, suivant les maladies ou blessures. Ce sérieux côtoyait la fougue d’une jeunesse encore florissante qui avait envie de bouger, dévorer ce monde. L’amour répondit à cette énergie débordante, comme un remède plus qu’on venait appliquer sur une âme ne demandant qu’à rêver et goûter à tout.

L’âge avançant, le sérieux se renforça considérablement, l’énergie de la folle jeunesse baissa peu à peu pour se muer en une expérience solide et sûre d’elle. Le temps de la confiance, le temps où l’autorité devint naturelle et les gestes très sûrs. Le temps de se bâtir une bonne réputation, de mettre des projets en place, de fonder une famille et de se poser, porter un regard plus serein sur le monde et donner des conseils à ceux qui le souhaitaient. La maturité était à présent bien installée, les sourires et les rires ne fusaient plus sans raison, mais toujours dans un contexte. Respect des anciens, attitude confiante pour guider les plus jeunes, une vie désormais bien cadrée.

Puis vint le temps du deuil, au décès de son épouse. Un temps accompagnant celui de la vieillesse. Les rires ne venaient plus, les chants et les fêtes n’avaient plus de goût. Son expérience et son âge imposaient le respect, parfois de l’admiration. Posé, de bon conseil, il prit plus de temps pour écouter, former s’il le pouvait, tenir la main à ceux qui en avaient besoin. Le temps des projets n’était pas terminé, il voulait faire reconstruire le petit hôpital pour ne plus forcer les gens à devoir se rendre à la grande ville, veiller sur sa fille qu’il formait et qui le secondait. Jamais plus il n’élevait la voix, affaiblie elle aussi par les années. A présent, ce qui comptait étaient sa fille et son travail, il n’avait plus d’autres joies.

Physique • « Que les apparences soient belles car on ne juge que par elles. »

Le médecin avait toujours été plus grand que la moyenne des hommes de son âge. Un corps peu musclé, il est vrai, mais tout de même imposant et dont la silhouette se reconnaissait avec beaucoup de facilité, y compris de loin. Plus courbé, les épaules plus basses autant à cause des années passées que des chocs reçus dans la vie, ce grand corps semblait en permanence porter un fardeau sur son dos. Voilà bien longtemps que le médecin ne pouvait plus courir avec la même vigueur, cela étant dit, il s’entretenait autant que possible et pouvait encore mener de bien longues marches pour se rendre d’un village à un autre, afin d’y apporter des soins aux personnes ne pouvant pas ou peu se déplacer. Ses cheveux, auparavant très épais et noirs, étaient à présents blanc et gris, un peu plus fins, se dégarnissant au bord du front. Il les coiffait de façon simple et sobre, portant aussi une petite barbe grise elle aussi.

Ses yeux noirs donnent souvent l’impression, à son interlocuteur d’être transpercé du regard. Ses vêtements, d’un même style depuis au moins vingt ans, sont souvent bruns, marrons ou noirs. Des habits larges, protégeant du chaud et du froid, dans un style traditionnel plutôt campagnard, montrant là aussi une sobriété à toute épreuve mais aussi le sérieux inconditionnel dont doit se targuer la profession. Il ne porte que des tissus solides et résistant aux intempéries, la plupart déjà usés par de nombreux voyages, ainsi qu’une éternelle sacoche de cuir en bandoulière, usée jusqu’à la corde, qu’il emmène partout avec lui pour soigner ses patients depuis l’âge de dix-huit ans.

MON HISTOIRE


Histoire • « La passion est une fièvre de l’esprit qui nous laisse toujours affaiblis »

Il y a, dans la vie, des moments dont on se souviendra pour l’éternité et qu’on emportera avec soit dans la mort, une fois son temps venu. La naissance de Kuni fut un de ces moments, dont le médecin se rappelait toujours avec une grande douceur et beaucoup de joie. Voilà bien longtemps que lui et son épouse, Natsu, tentaient d’avoir un enfant, sans jamais de succès, jusqu’au jour où enfin, ce miracle de la nature se fit. Leur fille vint au monde en avance, alors que ses parents revenaient d’un voyage à Kyoto pour le travail, et vint au monde dehors sous un grand sapin, à la tombée du jour. En hommage à cet instant, ils la nommèrent Kuni, ce qui voulait dire nature. Leur petit miracle offert par la nature. Sa fille était tout, pour Mareo, il avait tant pleurer en voyant les années s’écouler sans que lui et son épouse ne puisse avoir d’enfant, puis leur petite fille était arrivée. Dès qu’elle fut en âge, il lui paya une bonne école à Kyoto même, afin d’être certain qu’elle reçoive la meilleure des éducations. Hélas, cette naissance, cette si grande joie pour le couple, eut aussi un effet plus sévère et douloureux.

Natsu resta longtemps fatiguée, après son accouchement, plus affaiblie qu’elle ne l’avait jamais été. Elle traversa quelques mauvaises périodes où elle tombait malade longuement, jusqu’au jour où une dernière maladie l’emporta à jamais, malgré tous les efforts déployés par son mari pour la soigner. Il resta seul avec sa fille, alors âgée de huit ans, et refusa catégoriquement de se remarier, malgré toutes les pressions de son entourage. Qu’importe les traditions, les ouï-dires, les tentatives de le faire culpabiliser car la petite n’avait plus de mère auprès d’elle, il ne pourrait tolérer de remplacer ainsi cette femme qu’il avait tant aimé. Il prit donc sur lui pour repousser toutes les pressions et élevé avec sa fille avec dignité, lui donnant autant d’affection et d’amour qu’elle en avait besoin. Il l’éduqua et l’initia à son tour à la médecine, la formant afin qu’elle puisse travailler à ses côtés et prendre sa place une fois que lui-même aura rejoint ses ancêtres et prit place au ciel aux côtés de Natsu.

Beaucoup de peines peuvent affecter une existence, le médecin avait pour lui une philosophie consistant à dire qu'aucune douleur reçue au monde n'était insurmontable si vous aviez un but à atteindre qui en vaille la peine. Pour lui, ce but était de permettre la création d'un centre de soins où chacun pourra accéder, peu importe sa classe sociale et peu importe sa fortune. Bien sûr, certains soins compliqués étaient très coûteux, bien sûr, ce centre ne pouvait pas tout financer, ceci étant, il tentait de convaincre les plus riches de devenir mécènes et ainsi assurer à l'hôpital de pouvoir soigner tout le monde, jusqu'aux maladies les plus graves. Le prix des soins était, comme partout ailleurs dans le pays, le point le plus compliqué pour les familles et il était bien difficile de maintenir ces tarifs à une barre raisonnable.

Avec sa fille et des amis de professions de toutes les origines, partageant ses convictions, il ouvrit donc un premier établissement à Hodukyo, ou le village des artisans, comme il était nommé. Installé dans un grand établissement sur pilotis comme presque toutes les autres maisons du village, il était facilement accessible par bateau et reçut bientôt un grand nombre de personnes. Tout allait au mieux jusqu'aux grands tremblements de terre... Leur nouvel hôpital n'y tint as et fut détruit comme bien d'autres maisons. Beaucoup de malades et de blessés y périrent, d'autres disparurent, emportés par les eaux du fleuve. Ce fut une perte violente, qui plongea Mareo dans une tristesse profonde durant un long moment avant qu'il ne se reprenne, grâce à sa fille.

Néanmoins, il fallait poursuivre, ne pas se laisser abattre. L'hôpital renaîtra de ses ruines, il avait fait ce serment et le tiendra. Dans quelques temps, tous les habitants des monts et des vallées sauront qu'ils peuvent être soignés en payant des prix raisonnables, que les femmes ont un endroit pour accoucher dans de bonnes conditions d'hygiène et de sécurité, que les maladies infantiles ne sont plus mortelles dans la majorité des cas. Avec Kuni, ils parviendront à créer un véritable système de santé publique.

DERRIERE L'ECRAN



Prénom/pseudo • Victor, Mareo
Âge • Adulte
Loisirs • Un peu de tout
Célébrité choisie • Min Tanaka
Comment nous avez-vous connu • Membre sur l’ancien forum
Le mot de la fin • Ca change beaucoup, c’est agréable



° CODAGE PAR DITA | EPICODE °

Itsuko Masuda


Paysan(ne)

Itsuko Masuda
Fonction : Admin
Présence : Disponible
Messages : 91
Âge rp : 25 ans
Statut marital : Fiancée
Yens : 1856
Lun 25 Déc 2017 - 11:27
Re-bienvenue !

Très belle fiche, tu es validé et peux commencer à RP =)

Comme dit sur la box, tu as la classe sociale de tes parents, je t'ai mis un rang et dans ton groupe ^^

A bientôt peut-être !

Mareo Ima [Validé]


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