Atarashī Kibō
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Forum RPG se basant au Japon en 1780 durant l'ère Edo, période de grande famine où chacun devra apprendre à vivre malgré les événements.
 
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Pensionnat de la Ste Famille

Itsuko Masuda


Paysan(ne)

Itsuko Masuda
Fonction : Admin
Présence : Disponible
Messages : 91
Âge rp : 25 ans
Statut marital : Fiancée
Yens : 1856
Jeu 14 Déc 2017 - 19:06


Bienvenue !


Pensionnat de la Sainte Famille

"La rentrée approche mais les vacances ne sont pas de tout repos"


Pensionnat fantastique, basé en France en 1931
Ouverture le 31 Mars 2013, 27 membres, 5 780 messages
Charte du Forum | Les éléments | Règlement intérieur
Fondatrice : Gabriella de Lizeux.
Administrateurs : Adrien de Sora, Jasper Karinof.
Modératrice : Laura Karinof





« Contexte du Forum »

Tout le monde aurait presque cru croire à une petite accalmie. La fin de l’année approchait, et même si les examens venaient avec, cela signifiait pour tout le monde les vacances d’été, la libération, un nouveau souffle, du repos. Pour certains, comme pour aux dernières vacances, le Gouvernement allait en profiter pour modifier de nouveau l’école. Pour d’autres, qui ne voulaient pas songer de suite au pire, c’était le rêve de voir un peu ailleurs et espérer que tout s’arrange durant l’été. Plus le mois de Juin approchait et plus les cœurs s’échauffaient. Pour une fois, les examens étaient beaucoup attendus, car une fois qu’ils seront passés, ce sera l’heure de quitter l’école pour deux longs mois. Voire à jamais, pour ceux qui passaient leur baccalauréat et s’envolaient vers d’autres horizons plus chaleureux. Une pause dont bon nombre d’élèves désiraient.

Cependant, un événement vient bouleverser le fragile climat de bonheur qui régnait alors. La nuit qui marquait le passage au premier juin, tout le pensionnat fut réveillé par le bruit puissant d’une alarme, telle celle qu’on avait entendu lors des bombardements de la Grande Guerre. Elèves et professeurs découvrirent, effarés, Gray qui brûlait, le village tout entier soumis aux flammes au cœur de la nuit. Toutes les maisons étaient déjà prises, dans un feu violent et incroyable, qui avait embrasé chaque mètre carré du village. Une chaîne s’était organisé, ceux qui maniaient l’eau accourus sur place, mais le village était déjà trop détruit, les maisons perdues. Un terrible accident ? Quelques villageois jurèrent avoir vu une silhouette, au cœur de la nuit dans les rues du village, avant que l’incendie se déclare. Élucubrations causées par la peur, pensait-on, jusqu’au moment où on retrouve un cadavre à moitié calciné, tué d’une balle en pleine tête.

La victime était un homme de cinquante-deux ans, divorcé, qui tenait un bureau de tabac au centre du village. Il avait pour habitude de faire un dernier tour dans le village à la tombée de la nuit pour respirer un peu l’air nocturne avant de rentrer chez lui pour dormir. Le médecin qui l’examina à l’hôpital, où son corps fut emmené, déclara que la balle l’avait tué d’un coup, sans lui laisser la moindre chance. Son corps aurait pu être dévoré entièrement par le feu si, dans la tentative désespéré de sauver le village, une personne ne l’avait pas vu. Ce meurtre affreux acheva de convaincre les villageois que cet incendie n’était pas du tout un accident mais un crime. On avait voulu détruire le village et cet homme, qui était sans aucun doute témoin, qui avait dû voir le pyromane, était mort pour cela.

La recherche active du meurtrier fut lancée, cette nouvelle affaire rallumant un intérêt très vif pour le village et l’affaire de l’école. Les journalistes se pressèrent à Gray, tandis que les villageois partaient se réfugier dans leurs familles et chez leurs proches, voire dans des centres d’hébergement pour certains. Du côté du pensionnat, il fut décidé que cela entraînerait les élèves et ferait office d’examen pour certain que de les mettre à aider à reconstruire le village à l’aide leurs dons. Un exercice très pratique qui demandait beaucoup de techniques mais qui changeait des cours habituels. L’armée, quant à elle, restait étrangement silencieuse et en retrait. Préparation d’un mauvais plan ou simple désir de ne pas se laisser mêler d’une affaire qui ne concerne que la police ?

Chez quelques élèves, cet acte est entièrement lié aux problèmes actuels du pensionnat, sans preuves pour le moment. Donc qui a raison, qui a tord, comment déterminer le vrai du faux ? Chaque camp s’enflamme, résistance, neutralité, collaboration, tout se joue en ce moment même, il ne vous reste plus qu’à rejoindre l’histoire.

©️ Code de Anéa pour N-U

Pensionnat de la Ste Famille


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